Édito

On a cru (naïvement ?) que les réseaux sociaux allaient créer une belle agora où chaque citoyen trouverait un espace de discussion et de partage… mais on y trouve tout et son contraire ! Des propos qui élèvent et conscientisent sur le même pied que des discours haineux, bêtes et méchants.

On a cru que l’accès quasi infini à des contenus musicaux, informatifs, cinématographiques, littéraires, scientifiques, à des possibilités de rencontre, allaient nous rendre plus intelligents et plus libres… mais nous n’arrivons plus à choisir alors nous zappons et nous scrollons en permanence. Elle est belle la liberté !

On a cru qu’un monde connecté allait changer le monde… mais pour un contenu vraiment utile, combien de pubs, de vols de données, de harcèlements, de campagnes de dénigrement, d’images pornos, de fake news, de petits chats qui batifolent…?

Et on n’a pas encore parlé du coût réel de la numérisation… empreinte écologique, esclavage, guerre des minerais, stockage des données dans des « clouds » qui n’ont de léger que le nom, bénéfices scandaleux qui ne profitent qu’à quelques-uns, formatage des opinions, addiction…

Et Jésus, dans ce contexte, il aurait fait quoi ?

Il aurait eu le smartphone dernier cri et un mini-studio à Nazareth pour « communiquer » sur les béatitudes et le Royaume en appelant à « liker » ses contenus et s’abonner à sa chaîne youtube ?

Peut-être aurait-il plutôt été lanceur d’alerte? Appelant à plus de conscience les marchands d’internet, défiant les grands pouvoirs du numérique pour défendre les sous-prolétaires qui les enrichissent ?

Je n’en sais rien bien sûr… quoique… Je me dis en tout cas qu’en tant que chrétienne, je ne peux ignorer les paradoxes, les contradictions et autres appels à la conscience que génère l’utilisation du numérique.

Nous ne reviendrons pas en arrière , c’est certain, mais il n’est jamais trop tard pour penser et adopter des pratiques visant au bien commun et au bon sens.

C’est notamment pour cela qu’avec le Service de la Transition Ecologique et Sociale, nous vous convions à une journée de conférences et d’ateliers le samedi 5 octobre prochain.

« La place du numérique dans nos vies et nos relations », ça vous parle ?

ANNE

La place de la femme en Eglise

Livres recommandés et à découvrir chez Siloë

Se réformer ou mourir
Sept théologiennes prennent la parole : Laure Blanchon – Isabelle de la Garanderie – Véronique Margron – Anne-Marie Pelletier – Lucetta Scaraffia – Anne Soupa – Marie-Jo Thiel – Ed. Salvator
Ce livre réunit les réflexions de sept théologiennes chrétiennes engagées sur le terrain ecclésial.




Les femmes au secours de l’Eglise, Sylviane Guillaumont Jeannneney, Ed. Jésuites – Préface d’Anne-Marie Pelletier.
S’appuyant sur l’attitude radicalement nouvelle de Jésus envers les femmes, l’auteure s’interroge, de manière simple et accessible, sur la place des femmes dans l’Église.









Jésus, l’homme qui préférait les femmes, Christine Pedotti, Albin Michel, 2018
Cette lecture précise et rigoureuse des quatre évangiles canoniques est renversant : il bouleverse ce que l’on croyait savoir, après vingt siècles de commentaires presque exclusivement masculins. Non seulement Jésus était « en avance sur son temps », comme on l’a beaucoup dit, mais il devance aussi le nôtre, en n’assignant jamais aux femmes un rôle lié à leur sexe.





Douze femmes dans la vie de Jésus, Anne Soupa, Salvator, 2014
Les femmes sont les bonnes élèves des évangiles. Elles ne se veulent ni différentes, ni meilleures. Mais de là où elles sont, de cette humanité âpre et humble, tenace et résolue, elles travaillent à élargir les limites de l’humanité vers tout ce qui n’est pas encore monté au cœur de l’être humain. Ces femmes offrent à tous un modèle d’humanité qui pourrait bien être la norme évangélique : celle qui, en faisant de la périphérie le centre, refuse toute exclusion et jubile devant la fragile grandeur de l’être humain.

Communication du groupe ‘Foi et homosexualité’

C’est en 2005 que le 17 mai a été déclaré Journée Mondiale contre l’homophobie. Cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie, la transphobie.
Saviez-vous par ailleurs qu’il aura fallu attendre l’année 1990 pour que l’homosexualité soit évincée de la liste des maladies mentales?
Le groupe de réflexion “Foi et homosexualité”* du Service Diocésain des couples et des familles* aimerait partager avec vous l’article 55 de la récente déclaration Dignitas Infinita sur la dignité humaine du pape François :
L’Église souhaite avant tout « réaffirmer que chaque personne, indépendamment de sa tendance sexuelle, doit être respectée dans sa dignité et accueillie avec respect, avec le soin d’éviter ‘‘toute marque de discrimination injuste” et particulièrement toute forme d’agression et de violence ». C’est pourquoi il faut dénoncer comme contraire à la dignité
humaine le fait que, dans certains endroits, de nombreuses personnes soient emprisonnées, torturées et même privées du bien de la vie uniquement en raison de leur orientation sexuelle.
« 
Le groupe « Foi et Homosexualité » voulait partager avec vous cette idée que Dieu a, pour chacun de ses enfants, un regard d’une infinie bienveillance et que rien ne peut venir entamer sa dignité. Nos communautés devraient pouvoir se laisser inspirer par cet amour
inconditionnel pour que chacun puisse y trouver une place et y donner le meilleur de lui-même.
Nous vous invitons également, de manière individuelle ou collective, à réciter la prière proposée ci-dessous.
Si vous souhaitez plus d’informations sur cette démarche, sur le groupe « Foi et Homosexualité », vous pouvez contacter Anne Van Linthout : sdcf@evechedeliege.be ou +32 474 34 44 13
Retrouvez également notre article paru sur le site du diocèse de Liège :
“Rien pour nous sans nous !” : le groupe “Foi et Homosexualité” poursuit son travail de réflexion – Diocèse de Liège – Diözese Lüttich (evechedeliege.be)


*Cette équipe inclusive est constituée de prêtres, diacres, laïcs, hommes et femmes, en lien étroit avec l’antenne liégeoise de la Communauté du Christ Libérateur, groupe de chrétiens et chrétiennes LGBT qui ont voulu créer un espace accueillant pour tous ceux qui désirent vivre une vie chrétienne épanouie. Nous vous proposons ici quelques témoignages de membres de la communauté.
Communauté du Christ Libérateur : https://ccl-be.net/
Responsable de l’antenne liégeoise : liege@ccl-be.net
Déclaration « Dignitas Infinita » sur la dignité humaine, du Dicastère pour la Doctrine de la Foi.

Quelques témoignages du vécu en paroisse par des chrétiens homosexuels

« Je suis d’une famille catholique de la région verviétoise. Enfant, j’ai été acolyte, puis j’ai continué à aller régulièrement à la messe, selon la tradition familiale.
Quand la vie professionnelle m’a éloigné de ma région d’origine, je n’ai plus vraiment fréquenté les célébrations dominicales. Peut-être une sorte de paresse ou d’indifférence. Je me sentais plus chrétien de culture que de foi profonde et je n’avais pas non plus trouvé de paroisse qui me motivait.
Depuis quelque temps je reviens plus souvent en région verviétoise et je retourne volontiers aux célébrations dans ma paroisse d’origine, probablement aussi pour les personnes que j’y retrouve. J’y assure parfois une des lectures. »

« Je n’ai jamais vraiment ressenti le besoin ou le désir de faire mon coming-out. Mais je pense que si l’équipe paroissiale savait que je suis gay, cela ne poserait pas de problème. Je ne comprendrais d’ailleurs pas que leur vision sur moi change par le simple fait de me savoir gay. Par contre je n’aurais pas la même confiance dans ce que serait l’attitude du prêtre actuel de la paroisse.
Mais qui sait, l’Esprit souffle où il veut ! »
Anonyme

« Suite à des péripéties j’ai vécu un outing (coming out non désiré). Cela va provoquer des réactions diverses. Que ce soit les invitations pressantes du prêtre de la paroisse m’invitant à toujours nier mon homosexualité ; le refus du vicaire épiscopal de m’attribuer des heures de cours de religion et surtout le fait que ma maman va s’arranger pour me déshériter. Tout cela vu le fait que ma différence est contraire à la Parole de Dieu…..Est-ce cela le vrai message des Évangiles ? »
Signé : Y

« Je ne sais comment procéder pour faire valoir la difficulté que j’éprouve quand la Déclaration romaine traite dans le même sujet des divorcés remariés et des couples de même sexe. Dans le premier cas, il y a eu divorce, alors que non dans le second. Pourquoi ce rapprochement.
En famille et en communauté religieuse, il convient de ne pas parler d’homosexualité. C’est qu’on est aimé sans devoir faire un plat ? Ne serait-il pas intéressant de faire une enquête sur le sujet ? On nous dit qu’il n’y a pas à faire part de son orientation affective. Bon ! Mais parce qu’on estime normative et évidente l’orientation hétéro ? Ne serait-ce pas intéressant de faire savoir qu’il existe des communautés religieuses sans le moindre tabou ? » Melchior

« Né en 1968, j’occupe depuis longtemps des charges d’organiste dans différents lieux de Liège et de Bruxelles. J’ai grandi dans la crainte de dire que j’étais gay dans le milieu ecclésial. Mais la trentaine passée, la divulgation de mon identité n’a finalement pas posé problème et j’ai été bien accueilli dans tous les lieux que je fréquentais. Je suis en couple depuis 23 ans et marié civilement depuis bientôt 18 ans. Mon conjoint est aussi organiste et bien intégré dans sa paroisse. » ÉRIC

Edito

Pixabay – G. Altmann

Dans quelques jours, nous célébrerons la Pentecôte !

Jésus nous a fait une promesse : « Vous allez recevoir une force, celle du Saint-Esprit qui viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8).

Qu’est-ce que l’Esprit ? Quel est son rôle ?
Serait-il capable de nous aider à mieux aimer l’autre, celui qui est différent de nous, de notre famille, de nos amis, de notre culture, de notre religion ? Nous poussera-t-il à mieux l’écouter pour discerner nos actions, notre manière d’être ? Par sa grâce, oserons-nous découvrir celui qui fait peur, celui qui est ‘autre’ ?

Je pense à cette journée du 17 mai pour la lutte contre l’homophobie et la transphobie. Pourquoi faut-il avoir des journées comme celle-ci pour rappeler les droits humains de chaque femme, de chaque homme ? Faut-il encore et encore répéter que chaque être humain doit être respecté dans son intégrité et sa différence ?

Je me pose souvent ces questions : pourquoi est-ce si difficile d’aimer l’autre tel qu’il est ? Qu’est-ce qui fait peur ? Est-ce la différence, la peur de perdre le contrôle, la peur de découvrir peut-être… qu’au fond de soi, on n’est pas celui/celle que l’on veut faire paraître ?
Connaissez-vous le film ‘Le placard’ réalisé par Francis Veber et joué par Daniel Auteuil et Gérard Depardieu ? Si vous en avez l’occasion, regardez-le ! Quelques scènes sont vraiment cocasses.

Cette news vous fera découvrir les origines de cette journée du 17 mai, ses objectifs, une liste non exhaustive d’associations qui viennent en aide aux LGBTGIA+, un lexique pour comprendre certains mots de vocabulaire, des outils et vidéos pour aborder la question de l’homophobie et de la transphobie. Vous y trouverez également des propositions de ressourcement, quelques bonnes nouvelles et l’agenda pour mai et juin.

Que le vent souffle là où il veut…

Que l’Esprit nous guide dans nos paroles, nos actes, nos pensées….

Belle fête de Pentecôte !

Bénédicte

Edito

Réflexion rapportée par un instituteur à l’issue d’un cours de religion catholique : un gamin s’exclame « Mais enfin, Jésus, Jésus, Jésus, toujours Jésus… on ne pourrait pas parler de quelqu’un d’autre ? Il y a plein d’autres gens connus… »
Ça, c’est sûr ! Des artistes, des politiciens, des journalistes, des influenceurs de tout poil, j’en passe et des meilleurs.
La question n’est pas de savoir s’ils sont plus ou moins intéressants que Jésus mais s’ils ont réellement un message vital pour le monde d’aujourd’hui.
Vital, carrément ?
Vital, oui ! Au sens qu’il permet de prendre conscience qu’il y a un chemin de vie ; que celui-ci donne une réelle chance de trouver du sens à son existence ; que tous les systèmes politiques peuvent bien proclamer des idées et tirer des plans sur la comète, s’ils ne sont pas portés par des
personnes à tout le moins honnêtes et courageuses, ils généreront toujours des laissés pour compte… On continue ?

Nous avons besoin de plus de vie, pas de plus de choses à posséder.
Nous avons besoin de plus d’amitié, pas de plus de faux maîtres à penser.
Nous avons besoin de plus de proximité, pas de plus « d’entre soi ».
Nous avons besoin de plus de joie, même si l’horizon n’est pas très clair.
Nous avons besoin de nous sentir aimés, d’être quelqu’un pour quelqu’un, de ne pas passer notre vie à être personne.
Nous avons soif de paix, de justice et de vérité mais pas au prix du conflit et de la chair à canon.
Nous appelons de toutes nos forces la venue d’un monde où chacun aura une place à tenir, un rôle à jouer, une seconde chance à donner ou à recevoir… Un monde où les egos se tairaient un peu pour laisser parler cœurs. Un monde où tous les humains se sentiraient reliés, frères, sœurs,
solidaires, embarqués sur le même bateau… pour le meilleur !

Ouhlala ! Ça a des relents un peu hippie tout ça… !?

Et ben non, pas du tout ! Ça , c’est Jésus ! C’est le Royaume de Dieu ! C’est Pâques… l’humanité réconciliée et recréée dans le don absolu !

Allez ! Je fais le pari, cher instit’, que d’ici la fin du Carême, tu auras trouvé les mots adéquats pour expliquer à ton gamin comment Jésus peut le (nous) faire passer du scepticisme à l’émerveillement !
Anne

A deux dans le tourbillon de la vie !

Petit retour sur cette journée du 10 février.

Six couples ont choisi de vivre cette journée comme un cadeau que l’on se fait l’un à l’autre ( 3 couples se préparant au mariage, 3 autres mariés).

Plusieurs questions ont été abordées : sommes-nous capables de nous lier pour la vie ? Quels sont les enjeux pour réussir la traversée quand le chemin se fait plus difficile ?
Comment aimer l’autre avec justesse, sans vouloir « le dévorer » ?

La journée a été rythmée par des temps de « théorie », de présentation de divers outils et des temps de réflexion personnelle et à deux. Elle s’est terminée par un temps pour (re) dire « OUI » à son couple.

Et pour terminer cette belle journée, voici quelques mots des participants à la question « comment qualifiez-vous cette journée? » :
« épanouissante, enrichissante (5x), boîte à outil, responsabilité, espérance, apaisante, bienveillance, cool. »

L’équipe du SDCF a vécu cette rencontre dans la joie, l’espérance et l’assurance qu’il faut continuer à garder ce rendez-vous annuel dans ce beau cadre qu’est l’Abbaye de Brialmont. D’ailleurs, une date en 2025 est déjà réservée …

Peut-être nous rejoindrez-vous le samedi 8 février 25 ?

Édito

De quoi parlons-nous quand nous disons « faire Eglise » ?

Entendue au premier degré, cette expression induirait que nous sommes les promoteurs de cette Eglise, comme si elle était un produit d’usine… faux évidemment ! Nous oublierions en fait que nous n’en sommes pas les maîtres d’œuvre : cette convocation à vivre la communion, c’est Dieu qui nous l’envoie. Nous avons donc juste à la recevoir et à y répondre…

Et si nous y répondons, c’est sans doute parce que nous y avons trouvé la réponse à une profonde soif d’amour, de liberté, de fraternité, de justice et de paix partagée par toutes les personnes de bonne volonté qui cherchent un sens à leur vie… : des non-croyants peuvent ressentir sincèrement cette même soif sans y reconnaître l’empreinte de Dieu ; des chrétiens y reconnaîtront la soif de Vie que l’Evangile met à notre portée.

Une Vie qui dépasse toutes les balises et barrières de protection que nous pouvons nous imposer ou imposer aux autres pour les (nous) empêcher de la trouver et la vivre pleinement et librement : jugements moraux, ritualisme superstitieux, fausse humilité, fondamentalisme rassurant…

Quand Jésus dit : « Venez et voyez ! », c’est bien à une aventure spirituelle qu’il nous invite, celle d’une humanité réconciliée et capable d’un vrai « vivre ensemble » ; celle où chacune et chacun existe comme enfant bien-aimé de Dieu, grand de cette dignité que nul ne peut lui enlever ; celle où chacune et chacun a sa partition à jouer pour l’harmonie du tout ; celle où chacune et chacun doit pouvoir offrir sa petite part de levain et son petit grain de sel pour que le pain partagé ait pleine saveur et pouvoir de guérison, celle où ce qui réussit s’exprime dans la joie malgré (ou grâce) aux efforts qu’il a fallu faire pour y arriver.

Laissons-nous séduire par l’initiative amoureuse de Dieu de nous rassembler, ne choisissons pas nous-mêmes qui sont nos frères et nos soeurs dans la foi, recevons-les toutes et tous comme un don de Dieu. C’est assurément surprenant, toujours exigeant et bousculant… comme la vie… comme le Royaume !

Tout cela pour dire que le samedi 30 septembre prochain, le SDCF, avec une équipe élargie, propose une matinée de rencontre et de réflexion intitulée « Faire Eglise avec les personnes homosexuelles ». Vous y êtes bien entendu toutes et tous cordialement invités !

Anne

Un peu d’humour…

Prière pour avoir de l’humour…

« Donnez-moi une bonne digestion, Seigneur,
Et aussi quelque chose à digérer.
Donnez-moi la santé du corps.
Aidez-moi à la garder au mieux.
Donnez-moi une âme sainte, Seigneur,
Qui ait les yeux sur la beauté et la pureté
Afin qu’elle ne s’épouvante pas en voyant le péché
Mais sache redresser la situation.
Donnez-moi une âme qui ignore l’ennui,
Le gémissement et le soupir.
Ne permettez pas que je me fasse
Trop de souci
Pour cette chose encombrante
Que j’appelle MOI.
Seigneur, donnez-moi l’humour
Pour que je tire quelque chose de cette vie
Et en fasse profiter les autres. Amen. »

Semaine de Prière Accompagnée

La SEPAC, ou Semaine de Prière Accompagnée, est une mini-retraite d’une semaine à vivre au coeur de notre vie quotidienne, sans quitter nos activités.

Le retraitant s’engage à prendre chaque jour une demi-heure de prière personnelle à partir de quelques lignes de la Bible qui lui seront proposées.Durant la semaine, une personne va accompagner le retraitant lors d’une rencontre individuelle chaque jour. Cet entretien d’une demi-heure peut se faire en présentiel ou en distanciel.

Cette SEPAC aura lieu du dimanche 27 novembre au samedi 3 décembre, organisée par l’Espace Loyola (jésuites de la rue St-Gilles, 92 à Liège). Elle débutera par une rencontre de présentation (en présentiel et en virtuel) le dimanche de 16h à 18h, et se conclura le samedi suivant de 10h à 12h par une réunion (en présentiel et en virtuel) de mise en commun de nos découvertes et de nos nouvelles attentes.
Pour infos et inscription : https://bit.ly/SepacAvent2022