Préparation par les Dominicains

Week-end fiancés à Brialmont

L’amour n’est pas affaire de calcul et le mariage de raison n’est guère souhaité. Faut-il pour autant risquer l’amour idiot, sans discernement ?
S’il n’y a pas de recettes infaillibles de bonheur conjugal, celui-ci se fonde cependant sur une confiance mutuelle et sur des valeurs réellement partagées. Il ne s’improvise pas.
Il vaut la peine de prendre un peu de son temps (un week-end !) pour rechercher les ressources humaines et chrétiennes qui fondent les couples heureux et qui donnent sens au mariage sacramentel. La démarche vise à favoriser la communication au sein de chaque couple mais aussi à leur offrir quelques horizons nouveaux. Le parcours se fait en 13 étapes

1. L’aujourd’hui de notre amour
2. Je m’aime pour mieux t’aimer
3. La communication
4. La sphère familiale
5. Processus décisionnel
6. L’argent
7. La sexualité
8. La fécondité
9. L’éducation des enfants
10. La liberté
11. La fidélité
12. Le pardon
13. Le sacrement

Chaque étape est présentée par l’animateur, puis les participants sont invités à approfondir les questions proposées au cours d’un échange au sein de leur couple, d’abord répondant par écrit, puis en discutant à deux. Il n’y a pas de mise en commun en groupe.Une plage d’échange sera envisagée dimanche en fin de matinée. Au terme du week-end, le groupe est invité, s’il le désire, à une eucharistie ou un moment de prière. Les fiancés sont de la sorte aidés à approfondir leur connaissance d’eux-mêmes pour construire leur avenir ensemble.

Prochains WE fiancés : du samedi de 9h. au dimanche à 15 h.30

25 et 26 octobre 2025

10 et 11 janvier 2026

14 et 15 mars 2026

Animation : Philippe Cochinaux, dominicain

Où ? Abbaye ND de Brialmont, rue du Château, Esneux

Coût ? 240 €/couple
(Comme seuls 12 couples sont désormais acceptés par week-end, votre inscription ne sera complète qu’après vérification de la disponibilité à l’hôtellerie de Brialmont et le paiement de 220€ par couple. Nous avons dû adapter nos tarifs au 1er avril 2024, vu le nombre limité de places disponibles.)

Information : https://www.dominicanen.org/fr/a-propos/projets/week-ends-fiances

Inscription : g.iweins@dominicains.org

avec vos noms, prénoms, adresses emails et week-end souhaité.




AGENDA

Les Dominicains

Week-end fiancés à Brialmont

L’amour n’est pas affaire de calcul et le mariage de raison n’est guère souhaité. Faut-il pour autant risquer l’amour idiot, sans discernement ?
S’il n’y a pas de recettes infaillibles de bonheur conjugal, celui-ci se fonde cependant sur une confiance mutuelle et sur des valeurs réellement partagées. Il ne s’improvise pas.
Il vaut la peine de prendre un peu de son temps (un week-end !) pour rechercher les ressources humaines et chrétiennes qui fondent les couples heureux et qui donnent sens au mariage sacramentel. La démarche vise à favoriser la communication au sein de chaque couple mais aussi à leur offrir quelques horizons nouveaux. Le parcours se fait en 13 étapes

1. L’aujourd’hui de notre amour
2. Je m’aime pour mieux t’aimer
3. La communication
4. La sphère familiale
5. Processus décisionnel
6. L’argent
7. La sexualité
8. La fécondité
9. L’éducation des enfants
10. La liberté
11. La fidélité
12. Le pardon
13. Le sacrement

Chaque étape est présentée par l’animateur, puis les participants sont invités à approfondir les questions proposées au cours d’un échange au sein de leur couple, d’abord répondant par écrit, puis en discutant à deux. Il n’y a pas de mise en commun en groupe.Une plage d’échange sera envisagée dimanche en fin de matinée. Au terme du week-end, le groupe est invité, s’il le désire, à une eucharistie ou un moment de prière. Les fiancés sont de la sorte aidés à approfondir leur connaissance d’eux-mêmes pour construire leur avenir ensemble.

Dates et horaire :

Du samedi de 9h. au dimanche à 15 h.30

18-19 septembre 2021 (animé par le frère Stéphane Braun).

16-17 octobre 2021(animé par le frère Philippe Cochinaux).
6-7 novembre (animé par le frère Philippe Cochinaux).
18-19 décembre (animé par le frère Philippe Cochinaux).

Animation :Philippe Cochinaux ou Stéphane Braun, dominicains

Conditions, inscription et participation aux frais :

C
omme seuls 15 couples sont acceptés par week-end, votre inscription ne sera complète qu’après vérification de la disponibilité à l’hôtellerie de Brialmont et le paiement de 160€ par couple. Nous vous contacterons dans les prochains jours pour confirmation et paiement. Le prix comprend les repas et la chambre. Afin de faciliter la tâche de l’hôtelière, il vous est demandé d’apporter vos draps. Si vous souhaitez disposer de chambres séparées, merci d’en avertir l’hôtelière de l’abbaye de Brialmont. Un surcoût vous sera demandé. En cas d’annulation moins de 8 jours avant le week-end, les frais d’hôtellerie à Brialmont vous seront facturés. 

Communication émotionnelle et relationnelle en famille

En ces temps d’incertitude propice au stress et à la dégradation des liens familiaux, voici un jeu pour favoriser la communication et créer une cohésion familiale.

Nous pouvons avoir tendance à perdre de vue l’importance de la connexion dans la famille en lien avec le quotidien (se dépêcher pour être à l’heure à l’école et au travail, faire le ménage et les repas, surveiller les devoirs…).

Ce jeu composé de 18 cartes (en pièce jointe) propose des accroches ludiques pour renforcer les liens en famille.

L’idée est de partager des émotions en famille pour renforcer l’intimité et le sentiment de sécurité au sein de la cellule familiale.

Avant de jouer à ce jeu de la communication émotionnelle, il est en effet nécessaire d’insister sur l’importance de l’authenticité et de la bienveillance (personne ne juge ni se moque) et de rappeler à chaque participant que toutes les émotions (les siennes et celles des autres) et les souvenirs sont acceptables. Personne n’est jamais obligé de réponse et peut passer son tour.

Jouer à ce jeu de communication émotionnelle et relationnelle en famille peut avoir plusieurs bénéfices :

·  Parler des expériences positives
   Raconter ce qui nous a fait plaisir, ce qui nous a rendu heureux, permet d’ancrer l’expérience en soi qui       devient une ressource pour la vie

·  Se sentir relié à soi et aux autres

·  Créer un profond sentiment d’appartenance et des liens authentiques

·  Apprendre à ressentir et communiquer ses ressentis émotionnels

(agréables comme désagréables)

Le principe du jeu de cartes est tout simple : lors d’un moment de détente, les cartes sont placées face cachée sur le centre d’une table. Le premier joueur pioche une carte au hasard et y répond simplement; puis le second joueur pioche lui aussi une carte parmi les cartes restantes… et ainsi de suite jusqu’à ce que chaque membre ait tiré une carte (ou bien jusqu’à ce que chaque carte ait été tirée, en plusieurs tours de jeu). Les autres membres de la famille doivent écouter sans juger ni donner de conseil le joueur qui a la parole.

Cliquer sur l’image pour avoir toutes les cartes


L’édito de mai 21

Le vendredi saint, Christ est mort de façon infamante sur la croix ! C’est la fin de tous les espoirs, de toutes les illusions pour les disciples !

Et nous, ne sommes-nous pas aussi tenté.e.s de vivre des moments de découragements, de désespoirs ? N’avons-nous pas tendance à croire que tout est fini après une séparation, la perte d’un emploi, la mort d’un de nos proches ?

Trois jours plus tard, Jésus ressuscite (du latin « resurgere » c-à-d se relever, se rétablir, se ranimer, reprendre force) ! Il est vivant !

Ne sommes-nous pas nous aussi appelé.e.s à vivre des « résurrections » quotidiennes ? Des petits moments qui apportent un peu de baume au cœur comme un coup de fil, le sourire de quelqu’un, une parole qui réchauffe le cœur, une écoute qui booste, qui donne un regain d’énergie ?

Dans quelques jours, nous fêterons la Pentecôte, le don de l’Esprit ! Qu’est-ce que cela change pour nous, me direz-vous ? L’esprit nous change intérieurement. Il nous met en route. Il nous donne « un air de famille » avec Dieu. Il libère notre capacité d’aimer comme Dieu nous aime. Il nous pousse à faire des choix qui augmentent l’amour, la paix, la tolérance, les bienfaits, tout ce qui nous rend plus humain, plus fraternel.

Demandons à l’Esprit qu’il nous donne ses dons afin que nous puissions porter du fruit.

Demandons à Marie, durant ce mois de mai, qu’elle nous accompagne dans ce cheminement qui nous conduit à Jésus, son fils !

Bénédicte

Prière officielle pour la Xe Rencontre Mondiale des Familles

L’amour familial : vocation et chemin de sainteté

Père très Saint,
nous venons devant Toi
pour te louer et te remercier pour le grand don de la famille.

Nous te prions pour les familles
consacrées dans le sacrement du mariage,
pour qu’elles redécouvrent chaque jour la grâce reçue
et, comme de petites Églises domestiques
elles sachent témoigner de Ta présence
et l’amour avec lequel le Christ aime l’Église.

Nous te prions pour les familles
traversées par des difficultés et des souffrances,
par la maladie, ou par des douleurs que Tu es seul à connaître :
soutiens-les et sensibilise-les
au chemin de sanctification auquel Tu les appelles,
afin qu’elles puissent faire l’expérience de Ton infinie miséricorde
et trouver de nouveaux chemins pour grandir en amour.

Nous te prions pour les enfants et les jeunes afin qu’ils puissent Te rencontrer
et répondre avec joie à la vocation que Tu as planifiée pour eux;
pour les parents et les grands-parents, afin qu’ils soient conscients
d’être un signe de la paternité et de la maternité de Dieu
quand ils prennent soin des enfants
que Tu leur confies dans la chair et dans l’esprit ;
et pour l’expérience de la fraternité que la famille peut donner au monde.

Seigneur, fais en sorte que chaque famille
puisse vivre sa propre vocation à la sainteté dans l’Église
comme un appel à se faire protagoniste de l’évangélisation,
au service de la vie et de la paix,
en communion avec les prêtres et tous les autres états de vie.

Bénis la Rencontre Mondiale des Familles
Amen

Prière officielle pour la Xe Rencontre Mondiale des Familles
22-26 juin 2022

Souffrance ? Dépression ? Consolation ? Deuil ?

Image par Irina Ilina de Pixabay

Pourquoi la souffrance physique ou morale, la dépression ? Qu’est-ce que le deuil ? Avons-nous besoin des autres pour nous en sortir, pour se consoler ? Y a-t-il des rites, des passages ? Quelles sont les conséquences des confinements sur les adultes, les enfants, les ados ?

Dès la naissance, nous sommes amenés à vivre toutes sortes de séparations : quitter sa mère, quitter l’enfance, changer d’école, quitter les études pour entrer dans la vie professionnelle, quitter le nid familial pour entrer dans une relation de couple, déménager, perdre un emploi ou en changer, perdre un être cher, avoir une maladie, être accidenté, perdre sa liberté durant les confinements, absence de contacts sociaux,…

Quand l’ «objet » vient à manquer, il y a souffrance. Une souffrance intérieure, par rapport à soi. Il y a un AVANT et un APRES de cette séparation. Dans son livre « Consolation », Anne-Dauphine Julliand nous dit :  » Toutes les souffrances sont légitimes, toutes les douleurs sont authentiques. » (page 32). Elle reprend un peu plus loin avec Mère Térésa « La plus grande souffrance, c’est d’être seul, de ne pas se sentir aimé, de n’avoir personne. » Et André Malraux confirme avec ces mots « La pire souffrance est dans la solitude qui l’accompagne.« 

Faire le deuil, c’est accepter de quitter ce que j’étais AVANT pour ce que je suis devenu.e MAINTENANT…sans l’objet manquant. Cela demande du temps, des prises de conscience, parfois de toucher le fond pour pouvoir rebondir….Nous ne sommes pas tous les mêmes face à la douleur, à la souffrance. Nous réagissons chacun avec notre vécu, notre histoire personnelle. Et nous avons besoin des autres pour être consolés.

Pour mieux comprendre ce processus de deuil, découvrez la web-série consacrée sur ce sujet réalisée par les Dominicains. Le frère Dominique Collin a interviewé Jean-Michel Longneaux qui est docteur en philosophie, chargé de cours à l’UNamur, conseiller en éthique dans le monde de la santé et de l’éducation et rédacteur en chef de la revue « Ethica Clinica ».

6 capsules : 1/6 Deuil – 2/6 Conversion du regard – 3/6 Faire son deuil ?
– 4/6 Passer à autre chose – 5/6 Présence du tiers et des rites – 6/6 Trois dimensions de l’être humain

Vodeus a consacré une vidéo sur la souffrance tout en faisant le lien avec Jésus. « Compatissant de son vivant, celui-ci a cherché à guérir les malades sans les juger. Il a cherché à les réintroduire alors qu’ils étaient exclus de la société. A l’image de Jésus, à l’hôpital de Strasbourg, le père Denis Ledogar, appelé parfois Denis la tendresse, se penche sur la douleur. A San Francisco, dans une communauté homosexuelle décimée par le sida, une entraide catholique secourt les sidéens. »

Dans 52Paroles de Jeunes, des filles et des garçons répondent à des questions avec leurs mots, leur sensibilité : Qu’est-ce qui te fait pleurer ? Quelle est l’épreuve la plus difficile ? As-tu été confronté à la mort ?

Image par Gerd Altmann de Pixabay

Comment consoler ? Comment rejoindre l’autre dans son humanité ? Que lui dire ? Quelles attitudes ?

Il y a bien des manières d’aborder la situation. En voici quelques exemples…

Avoir des amis sur qui on peut compter, à qui on peut se confier. Cfr l’émission « Aimer pour vivre » du 28 avril 21 « Amis, pour la vie ! »
Oser approcher celui qui souffre à la juste distance.
Pouvoir dire ces quelques mots tout simples : « Je suis là », « De quoi as-tu besoin ? ».
Avoir de la compassion c-à-d « souffrir avec », avoir de l’empathie, comme dans la parabole du « Bon Samaritain ».
Avoir une attitude bienveillante (cfr lire l’article sur notre page Facebook sur l’école de la bienveillance )
Avoir des gestes simples comme poser une main sur l’épaule, serrer l’autre dans ses bras,…
Pouvoir mettre des mots sur ce que l’on ressent.
Prendre soin de soi, être à l’écoute de soi-même, de l’autre.
Oser pleurer autant que l’on en a besoin, de tout son saoul.
Crier à Dieu sa colère et sa détresse (cfr vidéo sur KTO avec Mgr Dubost )

Dans l’émission VIVRE, le magazine contre le cancer : Philippe Geluck (humoriste et dessinateur) et Bruno Humbeeck (psychopédagogue) répondent à la question « Peut-on rire du cancer ? » Le rire a-t-il sa place au chevet du malade ? Qui peut rire du cancer, avec qui et dans quelles circonstances ? Le rire peut-il aider à aller mieux ? Joue-t-il un rôle dans la résilience ?

TEDxParis (2013) : Philippe Croizon, sans bras ni jambes, nous donne avec humour une leçon de courage ICI

Sur KTO, Anne-Dauphine Julliand nous livre un témoignage poignant sans fard et plein d’espérance sur le deuil. Elle est l’auteure du livre « Consolation » (Ed. Les Arènes).

Sur RCFLiège, dans l’émission « Aimer pour vivre » du 21 avril 21, Jacqueline G. témoigne avoir touché le fond, avoir marché au désert … avant de pouvoir rebondir et retrouver la paix intérieure. Ce cheminement, elle l’a fait en étant accompagnée par Marie qui conduit toujours à Jésus.

Sur le site Yapaka.be, deux questions par rapport à la crise sanitaire :

« Comment restaurer le lien avec les ados en décrochage ou en détresse » – Entretien avec la psychologue Michèle Benhaïm (4’30) – réponse écrite

Crise et mesures sanitaires : comment penser des aménagements en équipe ? Entretien avec le psychologue Jean Van Hemelrijck (04:11). « […]Pour remettre de la vie au sein des équipes, cela passe forcément par inventer de l’autre, utiliser l’espace pour se retrouver et partager un moment bien ancré dans le présent […] pour ne pas se laisser démoraliser par le futur sans contenu […]. »


Oser revivre et prendre soin de ses blessures…

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En tant qu’hommes et femmes sensibilisés pour différentes raisons à la réalité de la séparation et du divorce, nous nous rendons compte que ces situations ne sont pas seulement échec, souffrance, mise en question avec toutes leurs conséquences … mais aussi une volonté de se reconstruire et d’ouvrir un nouvel avenir.
Nous croyons qu’une nouvelle espérance peut naître.
Forts de cette conviction, nous osons nous adresser à vous pour vous proposer une écoute personnelle ou un cheminement de foi.
Notre groupe fait partie du Doyenné du Plateau de Herve.

André Vervier 0486 697 420 andre.vervier@skynet.be

Élise Bosch 087 33 70 97

Guy et Danielle Schyns-Roosen : 0475 855 825 – 0472 620 184
schyns.guy@skynet.be et dany.schyns@gmail.com

EVRAS : éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle

Les jeunes ont un désir authentique et profond de réussir leur vie ; cela est vrai aussi d’un point de vue affectif.
« Pourquoi l’amour fait-il souffrir ? Quand je suis amoureuse, je crois toujours que c’est pour l’éternité… j’ai souvent été déçue… Peut-on croire à un couple qui dure ?»
« A quel âge « faut-il » avoir sa première relation sexuelle ? »
« Suis-je normal ? »
« Et si j’étais homosexuel ? » on constate qu’ils ont très tôt accès à de multiples informations mais le plus souvent ce sont de mauvaises informations : elles viennent des copains, d’internet… Il faut donc déconstruire un certain nombre d’idées et… construire afin que chaque adulte en devenir puisse se construire dans le respect des lois, de soi et des autres. Il faut les aider à réfléchir afin qu’ils puissent faire des choix éclairés et toujours respectueux d’eux-mêmes et des autres.
L’urgence est donc de leur donner dans le domaine de l’éducation relationnelle, affective et sexuelle des repères dès le plus jeune âge. Cela ne doit pas être le seul fait des parents ; une collaboration étroite de tous les acteurs éducatifs que rencontrent les jeunes est nécessaire afin qu’ils ne se brisent pas les ailes dans cette quête si difficile, mais ô combien précieuse, de l’amour.

CLES POUR AIMER

Au sein de notre service, « Clés pour aimer » propose des exposés, des pistes, des outils, des animations, abordant les thèmes de la vie de couple, la relation à l’autre, la tendresse, la sexualité et le pardon.
Des clés pour être à l’écoute des jeunes, les informer, les inciter à murir leurs choix de vie.
Ces animations sont adaptées dans le cadre scolaire, en paroisse, lors d’une retraite ou d’une formation.
Contacts : Anne Van Linthout : 0474/34.44.13




Evras-outils-de 7 à 20 ans

Evras-outils-couples

L’édito

7 lettres qui concentrent à la fois tant de bonheur et tant de violence. 3 syllabes pour évoquer des réalités aussi complexes et complémentaires que l’humanité, la parentalité, et la fratrie.

Un « s » qui selon qu’il s’y attache ou s’en cache, stigmatise ou fait de la place à toutes les réalités…

FAMILLE(S) !

Une année pour les soutenir, les tenir à bout de bras, s’en inspirer, admirer leur ténacité, les consoler d’être parfois si peu considérées, se désoler aussi qu’elles ne tiennent pas toutes leurs promesses, mais les encourager… toujours !

Au moment où cette news atteindra vos boîtes de réception, nous nous apprêterons à fêter Pâques. Quel rapport me direz-vous ?

La Résurrection, bien sûr !

Resurgere (c’est du latin)… se relever, se rétablir, se ranimer, reprendre force…

La foi de Pâques rappelle que le mal, l’absurde, la violence et la mort n’ont pas le dernier mot puisque le Christ les a vaincus.

Jésus allant au bout du don de lui-même et affrontant les contradictions du monde dans lequel il vit pour lui indiquer un chemin neuf, atteint en mourant sur la croix, une intensité de vie à jamais vivante pour ses disciples.

Puisse ce jaillissement de vie, « contaminer » toutes les familles, leur offrant ainsi le désir, dans toutes les situations qu’elles ont à vivre, de devenir et rester l’espace d’intimité bienfaisante et bienveillante dont chaque femme, chaque homme, chaque enfant a besoin pour devenir un être humain et agir en tant que tel.

Si l’Esprit de Dieu est à l’oeuvre, rien cependant ne peut se faire sans nous. Agissons donc là où nous sommes, dans la vie civile comme dans la vie écclésiale, pour que les familles puissent y exister, déployer leurs talents et trouver l’aide dont elles ont besoin quand les temps sont plus durs.

Et puis surtout, vivons, dans notre propre cercle familial, la joie de Pâques, l’allégresse de tous les possibles, de tous les pardons… vivons !

Anne

Diverses propositions

Durant la Semaine Sainte et/ou toute l’année.

  • Prier avec ses enfants ou petits-enfants : (Re)écouter l’émission du 14h octobre : La prière en famille (Aimer pour vivre) – ” Prier, c’est tout donner et se donner soi-même ! ” Comment prier en famille ? Le service des couples et des familles vous offre quelques trucs et ficelles. podcast
  • Suivre les célébrations de la Semaine Sainte sur la chaine Youtube/doyenné de Liège (cfr horaires
  • Découvrir à travers les médias :
    • L’histoire de Jésus (possibilité d’emprunter le DVD)
    • La semaine sainte (avec Playmobil) ICI
    • L’histoire de Pâques (avec dessins) ICI
    • Vodeus : Du Carême à Pâques : vidéos pour vous accompagner dans votre cheminement pour chaque temps fort : des éléments pédagogiques, des explications bibliques, des témoignages et le parcours d’un saint des premiers temps… ICI
  • Plusieurs initiatives du Vicariat “Annoncer l’Evangile” en collaboration avec d’autres services :
    • Triptyque à télécharger reprenant les différents moments de la Semaine sainte
    • Célébrations domestiques du Triduum de l’an passé
    • Prier les laudes
    • parcours de la réconciliation
    • chemin de croix
    • chemin de Pâques  à vivre en famille ou en groupe KT le  dans l’église (Peut être imprimer soi-même l’outil si l’église n’a pas ces photos sur panneaux
    • En famille à la découverte … ». Trois lieux à découvrir en famille : Val du Dieu, Banneux, Collégiale de Huy à l’aide du carnet d’animation à télécharger gratuitement sur leur site.

Créer un jardin évolutif pour approcher le mystère pascal : la mort et la résurrection.

Sites intéressants avec des enfants : Idées-cateKT 42

ART & FOI : une autre manière de découvrir la Semaine sainte au jour le jour (Service « Confinement-Brabant-Wallon) : ART & FOI

Trois conférences de Carême à ré-écouter :

  • Comment un accompagnement peut-il devenir progressivement le lieu d’un abus spirituel ? Conférence de Jean-Philippe de Limbourg, psychologue de formation, délégué épiscopal, formateur au Centre International Lumen Vitae ICI
  • Et si la pandémie nous avait fait reconnaître l’intérêt de se reconnaître vulnérables ? Conférence par Laura Rizzerio, philosophe, UNamur, chroniqueuse à La Libre ICI
  • L’écologie dans tous les sens: « Laudato Si' » en pratique !
    Conférence par Joaquim Lesne, référent en écologie intégrale et Jean-Yves Buron, permanent « Entraide & Fraternité ». ICI