« Paix aux hommes de bonne volonté ! »

En réfléchissant à notre news du mois de décembre, cette partie de phrase tirée de l’évangile Luc (chapitre 2 verset 14), a commencé à occuper une bonne partie de mes réflexions du moment.
Qu’est-ce donc qu’un homme ou une femme de bonne volonté ?
A qui pourrais-je décerner ce « titre » ? De quelle personne du passé, ou contemporaine, pourrait-on dire qu’elle fait partie des « hommes de bonne volonté » ?

Je suis sûre qu’il y a quelques années, dans un groupe de catéchisme, on m’aurait dit : « Sœur Emmanuelle ! – Mère Térésa ! – François d’Assise ! » Dans les années 70, on aurait dit « Gandhi ! – Martin Luther King ! – Don Helder Camara ! » Et dans les années 80-90, on aurait sans doute ajouté « La Princesse Diana ! – Bob Geldof !… » Comme quoi, chaque époque a ses héros…

Est-ce que les fondateurs de l’Europe étaient des gens de bonne volonté ? Il faut reconnaître que l’intuition de Robert Schuman et Jean Monnet si peu de temps après la fin de la guerre de 39-45 était porteuse d’une grande espérance pour que le « plus jamais ça » devienne une réalité sur le continent européen.
« La paix mondiale ne saurait être sauvegardée sans des efforts créateurs à la mesure des dangers qui la menacent. La contribution qu’une Europe organisée et vivante peut apporter à la civilisation est indispensable au maintien des relations pacifiques. » Déclaration du 9 mai 1950 à lire in extenso.

Et aujourd’hui, ne voit-on pas se lever de jeunes, très jeunes gens parfois pour défendre la sauvegarde de la Terre (Greta Thunberg – Adeline Charlier…), ou le droit à l’accès à l’eau (Autumn Peltier…), pour s’opposer à une force aveugle (Ahed Tamimi, symbole de la résistance palestinienne…), pour la lutte contre les armes à feu (Emma Gonzalez, rescapée d’un fusillade en Floride…), pour la défense des droits des personnes de couleur (Marley Dias qui promeut la littérature mettant en scène des protagonistes féminins noirs…), pour que les filles aient les mêmes droits que les garçons (Malala Yousafzai, plus jeune prix Nobel de la Paix… » ? Et la liste n’est absolument pas exhaustive… D’autres visages, d’autres actions, d’autres noms ci dessous…

Assurément, des hommes et des femmes de bonne volonté…  et si jeunes ! « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années ! » Corneille n’avait pas tort…

Tant mieux s’ils sont médiatisés, ils nous secouent si nous voulons bien leur accorder un peu de crédit, ils posent question, ils nous empêchent de ronronner en rond… Ils ne sont sans doute pas exempts de contradictions mais ils sont là et leur parole simple et directe nous atteint et nous fait réfléchir.

Au-delà de ces militants médiatisés, n’y-a-t-il pas autour de nous des anonymes, hommes et  femmes de bonne volonté dans la vie quotidienne ? Evidemment ! Toutes ces personnes qui, de manière naturelle ou choisie, pensent qu’elles ne sont pas le centre du monde et pourraient  terminer leur journée en se disant : « Peut-être qu’aujourd’hui, j’ai contribué à apporter un peu de beauté, de bonté et de bien autour de moi… »
Qu’est-ce qui les caractérise ? Sans aucun doute une aptitude à la gentillesse, vertu hautement suspecte dans notre monde compétitif et individualiste. La gentillesse ! « Le plus grand plaisir »  de l’être humain disait Marc-Aurèle.

« La gentillesse, si périlleuse parce qu’elle repose sur la sensibilité aux autres, sur une capacité à s’identifier à leurs plaisirs et à leurs souffrances. Se mettre à la place de l’autre peut-être très inconfortable. Mais les plaisirs que procure la gentillesse, comme tous les grands plaisirs humains, ont beau être périlleux par nature, ils sont parmi les choses les plus gratifiantes que nous possédions. » […] « Tout, dans notre système de valeurs actuel, fait qu’elle peut sembler parfois utile (autrement dit efficace) mais qu’elle est potentiellement superflue, qu’elle constitue un vestige d’une autre époque ou un élément d’un vocabulaire religieux. Pourtant, nous la désirons toujours, en sachant qu’elle crée la sorte d’intimité, la sorte d’implication avec l’autre dont nous avons à la fois peur et terriblement besoin. En sachant que c’est la gentillesse, à la base, qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue et que tout ce qui va à son encontre est un coup porté à nos espoirs. » Lire tout l’article

L’Avent commence… Soyons attentifs aux signes de gentillesse à donner et à recevoir, sans bruit, sans médiatisation, comme si cela coulait de source… comme si, à l’image des bergers de la crèche, c’était évident de contempler et de favoriser l’Amour quand il passe. Soyons comme eux des hommes, des femmes et des enfants de bonne volonté ! C’est la graine du Royaume qui commence à germer.

Quelques videos inspirantes :

Extraits d’évangile

Sir Nicholas Winton

Messages inspirants

La chaîne de la gentillesse

La philosophie de la gentillesse

Parole inattendue avec Christophe André

Anne

EVRAS – Boîte à outils -COUPLES

En duel ou en duo : « Mieux vivre le refus sexuel sans se sentir rejeté« 

Quand tu fais une avance sexuelle à ton ou ta partenaire, est-ce que ça t’arrive qu’il ou elle réponde: « non, pas ce soir »? Et à ce moment-là, est-ce que tu te sens rejeté? Ou est-ce que tu sais bien composer avec le refus sexuel? Aujourd’hui, nous répondons à la question: comment mieux vivre le refus sexuel sans se sentir rejeté!


THÉODOM : La place de la sexualité dans la vie du couple

Pascale Dutilleul, conseillère conjugale à Sceaux (92) nous présente son regard sur la place de la sexualité dans la vie du couple, le rôle à accorder au plaisir et à la satisfaction, l’évolution des questions posées par la sexualité aux différents âges de la vie d’un couple… Plus de contenus sur https://www.theodom.org


« SEXE et DIEU, quel rapport? »

Le diocèse d’Avignon a élaboré ce parcours dédié aux couples pour découvrir en 9 étapes « L’Evangile de la sexualité : une ‘bonne nouvelle’ réjouissante et accessible à tous » »
1ère vidéo : Sexualité |  » Le merveilleux dessein de Dieu pour la sexualité  » | Sexe et Dieu, quel rapport? (1/9)
3e vidéo : Sexualité | L’Evangile de la sexualité | Sexe et Dieu, quel rapport? (3/9)
9e vidéo : Évangéliser la sexualité : une ‘bombe’ missionnaire | Sexe et Dieu, quel rapport? (9/9)

Edito – novembre 21

Parler d’amour, c’est le plus beau sujet du monde !

Il faut donc apprendre à aimer… et non, ça ne vient pas tout seul.

Une petite définition pour aider à saisir toute l’importance de l’apprentissage : « L’amour est une relation interpersonnelle privilégiée où on aime la personne pour tout ce qu’elle est. On l’aime aussi bien avec la partie pulsionnelle de son cerveau (le désir) qu’avec la partie rationnelle (le don).»[1]

Il faut apprendre parce qu’il faut du temps pour comprendre la différence entre l’amour et les pseudo-amours qu’on peut rencontrer, et reconnaître ce qu’on appelle « le don d’amour », c’est-à-dire un amour qui sera porteur d’un mouvement, d’une direction, d’un engagement.

Cela dit bien toute l’importance de l’Education à la Vie Relationnelle, Affective et Sexuelle (EVRAS) que chaque école, depuis 2013, doit inscrire dans son projet pédagogique.

Au SDCF, nous entendons les questions des jeunes et les inquiétudes de leurs parents et éducateurs. Elles dessinent la peur des filles et des garçons d’entrer en relation et de construire du solide qui pourrait durer toujours. Elles laissent entrevoir l’angoisse de se briser les ailes. Parce que l’amour n’est pas toujours romantique aujourd’hui à l’âge des cours des lycées ou des collèges… ce qui sous-entend toute la pression sur les ados pour être en couple, faire des expériences un peu trop tôt, l’accès aux images pornographiques trop facile qui faussent les relations, abîment tout et peuvent aller jusqu’à paralyser le désir.

Nous prenons ces questions au sérieux et souhaitons les travailler afin d’outiller celles et ceux qui côtoient les jeunes : parents, grands-parents, éducateurs, animateurs… C’est pourquoi la deuxième conférence que nous proposons cette année porte sur ce sujet : « Comment et quand parler d’amour aux enfants et aux jeunes ? »… Nous avons invité Catherine Jongen, sexologue, thérapeute de couples et éducatrice à la vie relationnelle, affective et sexuelle car nous voulons aller au-delà des paroles pratiques, mécaniques et hygiéniques pour apaiser les peurs et donner faim de relations vraies, épanouissantes, qui font grandir la vie.

Alors, rendez-vous le mardi 23 novembre prochain à 19:30 à l’Espace Prémontrés ? Nous serions heureuses de vous y retrouver pour parler d’Amour !

Anne

[1] Denis Sonet

« Burn out parental : l’éviter et s’en sortir »

Dans le cadre de l’année Famille Amoris Laetitia, notre service organise un cycle de conférences en 2021-2022.

Le jeudi 21 octobre à 20h, notre première invitée sera Isabelle Roskam, Docteure en Sciences Psychologiques, Professeure en psychologie du développement à l’Université de Louvain. Elle a co-écrit avec Moïra Mikolajczak, Docteure en Sciences Psychologiques, Professeure en psychologie médicale et de la santé à l’Université de Louvain, « Burn out parental : l’éviter et s’en sortir » aux Éditions Odile Jacob. Isabelle viendra expliquer ce qu’est le burn out parental, nous donner des pistes pour l’éviter et pour s’en sortir.

« Plusieurs études récentes menées par l’UCLouvain montrent que l’épuisement peut provenir du rôle parental et de la vie familiale. Appelé « burn-out parental », ce syndrome affecte des parents d’enfants de tous âges, toutes catégories sociales et économiques confondues.
Ce processus s’installe progressivement, de façon insidieuse. Les conséquences peuvent être importantes tant pour le parent (perte d’énergie, problèmes relationnels au sein du couple, problèmes de santé, addictions…) que pour le / les enfant(s) (négligences, violences verbales et physiques à leur égard). Sujet tabou, le parent souvent démuni ne reçoit pas toujours l’aide adéquate. »

Infos pratiques

Où ? Espace Prémontrés, 40, rue des Prémontrés, à Liège (Séminaire)

Quand ? jeudi 21 octobre à 20h

Coût ? 5€ à payer sur place

L’inscription est obligatoire  sur : sdcfliege@gmail.com (et non gmail.be comme sur l’affiche !! )  ou par téléphone 0474/34.44.13.

Pour en savoir un peu plus, voici l’adresse du site d’Isabelle Roskam et Moïra Mikolajczak https://www.burnoutparental.com/

Autre article à lire : Burn out parental ? Kesako ?

Burn out parental ? Kesako ?

Avant d’entamer ce sujet, je vous invite à visionner cette vidéo qui en dit long, très long sur le job des parents : « Être parent, un métier difficile. Entretien pour un travail presque impossible »

Vous reconnaissez-vous ?

Dans notre société où l’on vise toujours plus l’efficacité, la rentabilité, la rapidité, où l’on idéalise la parentalité, il n’est pas simple de jongler avec vie professionnelle et vie de famille, épanouissement professionnel et personnel. Il y a parfois une distanciation entre nos rêves et la réalité du quotidien.

« Plusieurs études récentes menées par l’UCLouvain montrent que l’épuisement peut provenir du rôle parental et de la vie familiale. Appelé « burn-out parental », ce syndrome affecte des parents d’enfants de tous âges, toutes catégories sociales et économiques confondues. Ce processus s’installe progressivement, de façon insidieuse. Les conséquences peuvent être importantes tant pour le parent (perte d’énergie, problèmes relationnels au sein du couple, problèmes de santé, addictions…) que pour le / les enfant(s) (négligences, violences verbales et physiques à leur égard). Sujet tabou, le parent souvent démuni ne reçoit pas toujours l’aide adéquate. » (Les Mutualités chrétiennes)
Ce phénomène progresse d’années en années et s’est accentué avec les confinements. C’est pourquoi il est intéressant de se pencher sur cette problématique.

Quels sont les symptômes à repérer ?

Un épuisement émotionnel et physique important (différent d’une fatigue qui se récupère après quelques bonnes nuits de sommeil), une lassitude dans les actes du quotidien, la tendance à agir en pilote automatique, une distanciation affective avec les enfants, l’envie de les envoyer sur une autre planète ou bien de tout quitter, le déni aussi parfois devant ses difficultés, la culpabilité de ne plus avoir l’impression d’être un bon parent alors que l’on rêvait de fonder une grande famille, le désir de s’isoler, …

Dans ces situations critiques, on peut observer la difficulté de la personne à exprimer ses besoins personnels, à s’octroyer du temps pour son bien-être. On constate souvent le manque de soutien concret ou d’écoute de la part du conjoint. Une autre caractéristique est un certain perfectionnisme comme vouloir être un parent parfait.

Quelles sont les solutions ?

Diverses solutions existent ! OUF !! ;)

Tout d’abord, prendre conscience qu’il y a quelque chose qui cloche dans son comportement avec les enfants. Ensuite oser parler de sa vulnérabilité à son conjoint, à son médecin traitant et accepter de se faire aider par un thérapeute ou un psychologue.

Prendre du temps pour soi, se donner du plaisir, partager des moments de qualité avec son enfant, en famille, en couple sont des clés pour éviter le burn out et s’en sortir.

Quelquefois il est nécessaire de se retirer de la famille pour se reposer, faire le point, prendre de la distance par rapport à ce que l’on vit.

Une autre piste est aussi de permettre au père de prendre sa place, nous dit Stéphanie Allenou dans cette vidéo (TEDxNantes).  Nombreuses sont les femmes qui ont tendance à vouloir prendre tout sur elles, sans permettre au conjoint de jouer son rôle de père. La maman n’est pas une « superwoman » !

Pépites à découvrir : conférence, sites, formations, livres.

  • Conférence « Burn out parental : l’éviter et s’en sortir » ce jeudi 21 octobre à 20h à l’Espace Prémontrés, à Liège avec Isabelle Roskam. cfr affiche
  • Le site « Burn out parental » d’Isabelle Roskam (et de Moïra Mikolajczak- voir ci-dessous son interview dans « La maison des maternelles »), notre conférencière de ce 21 octobre.
    Il s’adresse aussi bien à des parents qu’à des professionnels. « Vous y découvrirez des informations sur les symptômes du burnout parental, un test diagnostic scientifiquement validé, ainsi qu’un ensemble de pistes pour éviter ou sortir du burnout parental (conférences, livres, centres de consultations spécialisés, listes de professionnels formés sur le sujet). La vidéo proposée en début d’article« Être parent, un métier difficile. Entretien pour un travail presque impossible » vient de leur site.
  • À écouter : « La maison des maternelles » : Burn out parental : comment s’en sortir ?Invitée : Moïra Mikolajczak
  • Les mutualités chrétiennes en partenariat avec l’UCLouvain proposent
  • Un talk organisé par TEDxNantes avec Stéphanie Allenou. Découvrez aussi son site « « L’îlot familles » créé en 2010 pour soutenir la parentalité (solutions, pistes, forum pour les parents épuisés,…)
  • Quelques livres : possibilité d’acheter ce livre avant la conférence ‘Le burn-out parental: l’éviter et s’en sortir ‘ au prix de 20,80€

RCF : Aimer pour vivre


Nouveau logo ! Nouvelle formule !
Après une année d’émissions hebdomadaires, nous avons accepté de poursuivre cette aventure audio mais sous une autre forme.  Nous avons souhaité animer une émission plus longue (une heure au lieu d’une demi-heure) une semaine sur deux en alternance avec Ralph Schmeder.???
Petit récapitulatif de toutes les émissions
Des invités, nous en avons accueillis régulièrement et en tout genre. Quelques exemples :  Paul Dewandre, auteur du célèbre spectacle « Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus » interviewé par Philippe Cochinaux ; Sébastien Pins, reporter belge de films « nature » plusieurs fois primés; Geneviève Rousseau, auteure de livres pour la jeunesse, nous a parlé aussi de jeux ; Guy Schyns, diacre à Dison, a évoqué la pastorale des personnes séparées, divorcées, divorcées-remariées ; Tim et Sophie ont témoigné de leur expérience à la Casa Béthanie, un habitat groupé solidaire, mais aussi Romain et Ayrianne, Georges, Mathilde et Patrick, Sœur Florence, Christophe, Laurence et tant d’autres …
Des sujets variés ont été abordés comme la catéchèse pour adultes avec Mess’Aje, la journée contre les violences faites aux femmes, les droits de l’enfant, l’intériorité, la prière, la solidarité, la nourriture, l’amour dans le couple, dans la famille, l’encyclique Amoris Laetitia…

Pourquoi ne pas écouter ou ré-écouter les podcasts en nettoyant vos légumes ou en vous reposant ? ;)

Pour la prochaine saison nous avons déjà quelques idées, mais patience… on vous les dévoilera au fur et à mesure …. Si vous avez quelques suggestions à nous faire, pensez à les communiquer à benedicte.florent@sdcfliege.be

Temps et messe pour la Création

Les récentes intempéries qui ont envoyé des centaines de personnes dans le désarroi et la misère nous rappellent qu’il est urgent de soigner la terre et les pauvres. C’est l’objectif du Temps pour la Création qui débutera dans un mois : réfléchir, prier et agir pour la Création, dans la continuité de l’encyclique Laudato Si.
Le groupe des Chrétiens en Transition et le Service diocésain de la Transition ont prévu pas moins de 13 événements. Vous êtes chaleureusement invités à y participer et à relayer dès à présent cette invitation dans vos communautés. Les détails arriveront au fur et à mesure sur cette page du nouveau site www.maisoncommune.be.
Dans vos paroisses et communautés, vous aussi vous pouvez vivre ce Temps pour la Création, par exemple par une Messe de la création que nous vous invitons à célébrer le dimanche 3 octobre 2021 (date indicative). Nous avons préparé pour vous un canevas de messe que vous trouverez en cliquant icià adapter à votre contexte.

Joaquim Lesne
Référent Ecologie intégrale – Vicariat Evangile et Vie
Rue des Prémontrés, 40 – 4000 Liège-ext. 04/230.31.66 – int. 226

« Le mariage dans tous ses états »

En 2016, le pape François publiait le document « Amoris Laetitia », « La joie de l’amour », un texte important pour la pastorale du mariage. Cinq ans après, l’occasion est belle de faire le point quant aux avancées qu’il a permises. Le présent cours s’inscrit dans ce souci. Outre un approfondissement théologique, il propose une approche interdisciplinaire tour à tour sociologique, psychologique, canonique et pastorale. Qu’est-ce que le mariage ? En quoi est-il un sacrement ? Qu’en dit l’Église ? L’institution est-elle désuète ? La fidélité est-elle possible aujourd’hui ? Comment y préparer les jeunes ? Autant de questions à l’ordre du jour de nos rencontres. Les différents intervenants se succèdent pour vous offrir ce tour d’horizon varié et enrichissant. Un cours certes mais engagé et participatif !

Formation en 5 samedis de 9h00 à 12h00 (15h = 1,5 cr)

18/9, 25/9, – 2/10 et 9/10 (jusque 12h30) – 16/10

Accès au site du CDF

Vous ne savez comment occuper votre temps de « vacance » ?

Voici quelques suggestions…

Voulez-vous aller au ciné ?

Le film « The Father » de Florian Zeller est à voir selon Hugues Dayez !!
Hopkins incarne Anthony, un ingénieur retraité qui vit depuis des années dans son bel appartement londonien. Ses journées sont rythmées par ses petits rituels et ses regrets que sa fille préférée, qui travaille à l’étranger, ne vienne plus lui rendre visite. En réalité, celle-ci est morte dans un accident depuis des années, mais Anthony ne s’en souvient plus, gagné par la maladie d’Alzheimer. Pour son autre fille, Anne (Olivia Colman, parfaite), c’est le temps des doutes et de la culpabilité : elle veut éviter de placer son vieux papa dans un home spécialisé, mais son compagnon la pousse à entreprendre cette démarche…

Vous voulez de bonnes lectures ?

Découvrez sur notre site différents titres sur le couple, la famille, les grands-parents,….

OU notre sélection de cet été …

101 questions pour animer et approfondir les discussions en famille
Gary Chapman, Ramon Presson – Edition Farel 17 Mai 2021

101 questions pour animer et approfondir les discussions en couple
Gary Chapman, Ramon Presson –  Edition Farel 17 Mai 2021

Les promesses du printemps : quand l’amour se renouvelle ICI
Gary Chapman, Catherine Palmer Traduction FRANCOIS ROSSO – Edition Artège – juin 21

Foi et religion dans une société moderne
Joseph de Kesel – Edition Salvator – ICI

D’autres idées ?

En veux tu en voilà …
Vous voulez faire une retraite de quelques jours, d’une journée, un stage, un pèlerinage à pied, en vélo ? Toutes les infos sur notre site et le dossier Vacances . Il y en a pour tous les goûts, en solo ou en couple ou en famille …

Le service de la catéchèse « Annoncer l’évangile » a préparé les carnets « En famille, à la découverte … » de trois lieux : la collégiale de Huy, le parc du Val-Dieu et le sanctuaire de Banneux