D’autres rendez-vous…

📌Préparation au mariage avec d’autres mouvements comme Vivre&Aimer, les Dominicains, Maredsous, … Consultez l’agenda mis à jour ce 29 octobre 25 ou notre site 


📌 SEPAC : Semaine de prière accompagnée du dimanche 14 décembre au samedi 20 décembre 2025, organisée par l’Espace Loyola (jésuites de la rue St-Gilles, 92 à Liège), en collaboration avec le vicariat « Cheminer et célébrer » de l’évêché de Liège. Elle débutera par une rencontre de présentation et de démarrage le dimanche de 16h à 18h à l’Espace Loyola, et se conclura le samedi suivant de 10h à 12h, également à l’Espace Loyola, par une réunion de mise en commun de nos découvertes et de nos nouvelles attentes.
Plus d’infos ici


📌 Diocèse de Namur/Luxembourg : 3 WE de discernement pour des jeunes de 18 à 25 ans avec la communauté de Tibériade (29/30 novembre; 7/8 février; 28/29 mars. Plus d’infos dans la Vidéo ou l’affiche ci-dessous.

Et si Dieu t’appelait à plus de VIE ?

🔥 En chemin, à l’écoute de ton appel

Tu as entre 16 et 30 ans et tu te demandes : 
➡️ Quel est mon appel dans la vie ? 
➡️ Comment trouver ma place dans l’Église ou dans le monde ? 
➡️ Comment concilier foi, études, travail et engagements ?
➡️ Qu’est-ce qui m’anime ?

Rejoins-nous pour des rencontres mensuelles (de novembre à avril) ! 
Au programme : 
✅ Échanges authentiques avec d’autres jeunes qui se posent les mêmes questions 
✅ Témoignages inspirants de ceux qui ont osé dire « oui » à la vie de couple ou de prêtre ou de religieux.se
✅ Temps de prière et de réflexion pour avancer dans ton discernement 
✅ Ambiance conviviale et sans jugement – 

👉 Pas besoin d’être sûr de toi, juste d’être curieux ! Partage l’info à tes potes, on t’attend !

📅 Première rencontre : mardi 25 novembre de 19h à 20h30 
📍 Lieu :40, rue des Prémontrés, 4000 Liège (2e étage, salle 246)
💬 Plus d’infos ? Contacte  le 04/229.79.57. ou envoie un email à : vocations@evechedeliege.be


Prière pour nos défunts

Seigneur Dieu source de vie et de miséricorde infinie,
Aujourd’hui nos pensées se tournent vers ceux qui nous ont quittés,
Nous venons devant toi, pleins d’amour et de gratitude pour leurs vies.
Pour nos parents, nos amis, et tous ceux qui nous ont précédés,
Nous te les confions, Seigneur, et te demandons de les accueillir en ta lumière.
Ils ont partagé avec nous la joie, la tendresse, et les souvenirs précieux,
Accorde-leur le repos éternel dans ta paix divine.
Souviens-toi de ceux que plus personne ne nomme, car ils sont aussi tes enfants,
Et que, par ta miséricorde, ils connaissent la plénitude de ton amour.
Seigneur, aide-nous à honorer la mémoire de nos défunts
En répandant la bonté, l’amour et la compassion autour de nous.
Fais de nous des porteurs de lumière et d’espérance,
En souvenir de ceux que nous aimons et qui reposent en toi.
Seigneur, à toi nous confions ceux que nous pleurons,
Qu’ils trouvent en toi le repos éternel et que la lumière sans fin les éclaire.
Garde-les proches de nous, dans la douce communion de l’amour,
Jusqu’au jour où nous nous retrouverons dans l’éternité bienheureuse.

Amen.

Eclats d’évangile : que dit Jésus de la mort ?

Par exemple, dans l’évangile qui raconte la résurrection de son ami Lazare, Jésus déclare :

« Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Jn 11, 25-26

Face à la mort physique, Marthe, tout comme nous, raisonne en terme de vie biologique et chronologique. Oui, la vie est ce temps dont on dispose sur terre, dans le corps qui est le nôtre pour accomplir un certain nombre de choses, pour recevoir et donner, pour transmettre, pour aimer, pour être et paraître, pour faire, etc. Et la mort c’est quoi… c’est la fin de tout cela, c’est la destruction de la personne, c’est sa pulvérisation dans l’inconnu, le néant. C’est la fin de la relation. C’est la fin.

(…)«Je suis la résurrection et la vie»: réponse de Jésus à Marthe. Je suis la résurrection et la vie. Je suis. Comme les mots de Dieu quand il s’est révélé à Moïse dans le buisson ardent en lui disant «Je suis celui qui suis». Ce n’est pas rien! Tout à coup, la vie est une personne. La vie c’est Jésus-Christ de Nazareth, celui que Dieu a envoyé pour nous. Etre en vie devient non pas être une âme et un esprit dans un corps qui fonctionne, mais croire en Jésus-Christ, recevoir ce don qu’il nous donne, dans le présent de nos vies. Pas dans un futur théorique et inconnu, pas «un jour, quand tout sera accompli». Je suis, là, maintenant. La résurrection et la vie. La résurrection c’est aujourd’hui, pas demain. La vie c’est maintenant, pas plus tard. Et il rajoute «Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais».

Extrait de la prédication de Linda Sibuet, pasteure pour une célébration œcuménique à l’église Saint Robert de Founex, en Suisse.

Édito

« C’est fou de penser qu’on ne va jamais mourir… C’est être fou de ne jamais penser à la mort… c’est être fou aussi d’oublier que même si on va mourir un jour, là, maintenant, on est vivant ! »

Je tombe par hasard sur une interview du psychiatre Christophe André où il lâche ces paroles sur la mort.
Je retiens ces trois courtes phrases et me dis qu’il a vraiment tapé « juste » : la mort, on voudrait l’oublier alors on n’en parle pas parce que, c’est bien connu, ce dont on ne parle pas, n’existe pas ! Oui mais on n’y échappe pas : on a tous dit adieu à un proche, parent, frère, soeur, ami.e. Beaucoup d’entre nous ont dû affronter un diagnostic qui soudain a rendu très concrète notre finitude… On n’y échappe pas… La bonne nouvelle, c’est qu’en attendant le moment du grand passage (encore une façon de ne pas parler de la mort), nous sommes vivants ! Nous sommes des VIVANTS !

Et c’est là que j’entends soudain les paroles de Jésus : « Je suis venu pour qu’ils aient la vie et qu’ils l’aient en abondance ! » (Jn 10,10) et « Je suis le chemin, la vérité et la Vie. » (Jn 14, 6).

Avoir la vie en abondance ne concerne certainement pas la jouissance matérielle de richesses économiques puisqu’on le sait, avec Jésus, on assiste à un retournement de nos valeurs : les Béatitudes, lues le jour de la Toussaint, en témoignent.

La Vie que propose le Christ privilégie quelques attitudes incontournables :

  • être debout, libre et les mains ouvertes pour tout recevoir de la bonté de Dieu et la partager largement ;
  • se tenir du côté des plus petits : les sans défense, les rejetés, les mal ou non-aimés, tous ceux qui ne sont« personne » aux yeux de celles et ceux qui se croient « quelqu’un » ;
  • penser « ici et maintenant » plutôt que « plus tard quand j’aurai le temps » ;
  • s’empêcher de diffamer, de moquer, d’intimider, d’écraser, d’abîmer, bref de détruire ;
  • Aimer, toujours, à temps et à contre-temps, donner sa chance à chacun, offrir son temps, sa compassion, son empathie, son aide ;
  • Ne pas chercher à vivre à la place de l’autre mais lui dire qu’il peut y arriver, avec des pas à sa mesure, avec des passages douloureux certes, et transmettre ainsi l’espérance sans laquelle rien n’est possible.

Et oui, c’est là tout le paradoxe avec Jésus : avoir la vie en abondance, cela ne peut se faire qu’en la donnant généreusement, comme on l’a reçue ! Tout un programme, on est d’accord ! Pas facile, c’est vrai ! A contre-courant, admettons ! Finalement, on s’en f… ! L’important, c’est la joie, la paix et la liberté que croquer dans cette vie-là procure qui compte, non ?

Alors, on choisit la Vie ?

Anne

Du poil à gratter

Mais si, les cathos ont de l’humour… La preuve ! Une petite histoire drôle :

Le Pape et son chauffeur

Après  avoir  rangé  les  bagages  du  Pape  dans  le  coffre de  la  limousine,  le  chauffeur  réalise  que  le  Pape  est resté sur  le  trottoir.
– Excusez-moi,  Votre  Sainteté », dit  le  chauffeur. « Voudriez-vous, je  vous  prie,  vous  asseoir  pour  que  nous  puissions  partir ?
– Pour  vous  dire  la  vérité,  dit  le  Pape,  ils  ne  veulent  pas me laisser  conduire  au  Vatican,  et  j’aimerais  beaucoup  pouvoir  le  faire  aujourd’hui.
– Je  suis  désolé,  mais  je  ne  peux  pas  vous  laisser  faire  cela. Je  perdrais  mon  job !  Et  que  faire  s’il  arrive  quelque  chose ?, proteste  le  chauffeur, qui  aurait  aimé  être  ailleurs  ce  matin  là.
– Je  ferai  quelque  chose  de  spécial  pour  vous, dit le Pape.
De  mauvaise  grâce,  le  chauffeur passe à  l’arrière et  le Pape s’installe  derrière  le  volant. Très  vite  le  chauffeur  regrette  sa  décision,  quand  après  avoir  quitté  l’aéroport,  le  souverain  pontife  met  la  pédale  au  plancher  accélérant  jusqu’à  140 km/h.
– Je  vous  en  supplie,  votre  Sainteté,  ralentissez !, implore  le  chauffeur  très  inquiet. Mais  le  Pape  continue  jusqu’à  ce  que  les  sirènes de  police  retentissent.
– Je  vais  perdre  mon  permis, s’écrie  le  chauffeur.
Le  Pape  se  range  sur  le  coté  et  baisse  sa  vitre quand  le  policier  s’approche. Dès que celui-ci  voit  le  Pape, il  retourne  à  sa  moto,  ouvre  sa  radio  et  dit  à  son  chef qu’il  a  arrêté  une  limousine  roulant  à  140 km/h.
– Où  est  le  problème ?   Bouclez-le !, dit  le chef de police.
– Je  ne  pense  pas  qu’on  puisse  faire  ça,  c’est  quelqu’un  de  très  important, dit  le  policier.
Le  chef  s’exclame : « Il  n’y  a  pas  de  raison ! »
-« Non,  je  veux  dire  réellement  important, dit  le  policier.
Le  chef  demande  alors : « Qui  avez-vous  coincé ? Le  maire ? »
Le  policier : « Plus  gros. »
Le  chef : « Un  sénateur ? »
Le  policier : « Beaucoup  PLUS  GROS. »
Le  chef : « Bien !  Dites-moi  qui  c’est ! »
Le  policier : « Je  pense  que  c’est  Dieu  lui-même ! »
Le  chef : « Vous  vous  moquez de moi ?  Qu’est-ce  qui  vous  fait  croire  que  c’est  Dieu ? »
Le  policier : « Il  a  le  Pape  comme  chauffeur… ! »

De quoi est-il question ?

Une question à la foi, une question à la fois !

« Est-ce vrai que les personnes divorcées sont excommuniées ? » me demande une connaissance.

Allons droit au but : non, les divorcés ne sont pas excommuniés dans l’Église catholique ! L’excommunication, qui exclut formellement une personne de l’Église et de ses sacrements, existe bel et bien mais elle n’est pas appliquée aux personnes divorcées.

« Oui, mais c’est vrai qu’ils ne peuvent pas communier ? »

Penser que les divorcés ne peuvent pas communier est une erreur. C’est aux divorcés remariés que l’Eglise demande de ne pas communier.

Cela demande quelques éclaircissements :
pour les chrétiens, le mariage est un signe de l’Alliance entre Dieu et les hommes. Et Dieu est fidèle, il ne retire jamais sa parole. Dans le mariage, les époux se promettent cette même fidélité, à l’image de la fidélité divine. C’est pourquoi, l’Eglise dit qu’il ne peut y avoir qu’un seul mariage religieux. Et si par malheur des époux devaient se séparer, elle demande à ce qu’ils ne se remarient pas.
Quand des divorcés se remarient, l’Eglise leur demande de ne pas communier, car il y aurait contradiction entre l’Eucharistie, signe de l’amour sans faille du Christ, et un mariage brisé.

Mais, encore une fois, cela ne veut pas dire que les divorcés remariés sont « excommuniés » ! Ils appartiennent toujours à l’Eglise. 

« C’est dur quand même, non ? Peut-on espérer des avancées sur cette question ? »

Une piste serait sans doute de clarifier le rapport doctrine/discipline. La doctrine parle de l’indissolubilité du mariage, sur laquelle tout le monde est d’accord, y compris les personnes divorcées-remariées, qui sont conscientes qu’elles ont rompu leur engagement. Ensuite on parle d’une discipline sacramentaire qui est donc l’exclusion de tous les sacrements. Essayons de ne pas faire d’amalgame entre les deux.

L’exhortation apostolique Amoris Laetita, publiée en 2016 suite aux deux synodes sur la famille, explore quant elle d’autres pistes :

  • elle ne propose aucun changement au niveau de la doctrine ;
  • Le Chapitre 8 de ce document (n. 291-312) est le cœur des discussions sur ce sujet. Il appelle à un discernement pastoral au cas par cas, reconnaissant la fragilité de la condition humaine. 
  • Amoris Laetitia met l’accent sur l’accompagnement des personnes en situation de remariage, les intégrant à la vie de la communauté. 
    La possibilité d’accéder aux sacrements (réconciliation et Eucharistie) est le résultat d’un « processus de discernement personnel et pastoral ». Ce processus invite à se placer devant Dieu et à évaluer sa situation. 
  • Le document ne délivre pas un « permis » d’accès aux sacrements, mais favorise une approche pastorale plus nuancée. 
  • La publication d’Amoris Laetitia a suscité une controverse sur la question de savoir si le chapitre 8 avait ou non modifié la discipline sacramentelle de l’Église. Une mise au point du Vatican en 2023 a réaffirmé que l’accès aux sacrements dépend de ce processus de discernement pastoral individuel, suivant les principes établis. Il y a donc là matière à espérer pour les personnes divorcées remariées qui ont faim et soif d’une communion pleine et entière dans leur communauté catholique.

Bonne nouvelle !

Etre missionnaire, c’est dire « oui » à la rencontre, à la surprise qui peut jaillir de celle-ci à la joie de partager ce qui nous fait vivre.

On a peut-être en tête des figures de missionnaires d’autrefois : pères blancs, soeurs blanches d’Afrique partis tout jeunes et plein de générosité annoncer la Bonne Nouvelle du Christ à d’autres nations. Mais nous sommes tous et toutes appelés à être missionnaires pas très loin de chez nous et à utiliser nos savoir-faire, compétences et talents spécifiques pour témoigner et annoncer l’Evangile.

Le chanteur Grégoire s’est récemment fait missionnaire de l’Espérance. Le site cath.ch (portail catholique suisse) le raconte dans cet article :

Et quand on parle de mission, on pense… MISSIO bien entendu.

Thème de l’année 2025-2026 : Missionnaires d l’Espérance parmi les peuples !

Dans un monde marqué par des crises multiples nous avons besoin de témoins missionnaires de l’Espérance. C’est-à-dire des femmes et des hommes qui par leur vie rendent témoignage de la présence de Dieu en portant une attention particulière « aux plus pauvres, aux faibles, aux malades, aux personnes âgées, aux exclus de la société matérialiste et consumériste », et adoptent « le style de Dieu : avec proximité, compassion et tendresse ».

Voyez tout cela sur le site de Missio

Prière pour la Mission

Dieu notre Père, Tu es la source de tout bien
C’est Toi qui as semé l’amour en nous,
pour que nous soyons appelés enfants de Dieu,
et nous le sommes vraiment.
Accorde-nous de répondre à ton appel,
pour vivre en enfants de lumière,
rassemblés dans la famille, et pour mieux
révéler ton Nom de Père à tous nos frères.

Seigneur Jésus Christ, Fils du Père éternel
Toi l’Aîné d’une multitude de frères,
Nous voulons demeurer en Toi,
Le médiateur entre Dieu et les hommes.
Nous te prions : souviens-toi de ton Église,
Peuple de Dieu en marche,
Fortifie en nous le don divin
pour faire de nous tous, en Église,
des signes de ta présence
et des témoins de ton Évangile.

Esprit créateur et Vent de Pentecôte,
Tu as illuminé l’Église aux premiers temps ;
Tu as réchauffé le cœur des apôtres.
Suscite aujourd’hui, dans notre Église,
le courage missionnaire pour annoncer
l’Évangile aux hommes aujourd’hui.

Et Toi, Marie, Mère de Jésus et notre Mère,
sois, au cœur de notre Église,
celle qui nous accompagne sur le chemin du renouveau.
Donne-nous d’accueillir notre identité de Fils de Dieu.
Rends-nous dociles à l’Esprit de ton Fils,
et attentifs les uns aux autres,
dans la foi, l’espérance et la charité.
Amen.

Prière diffusée au Sénégal à l’occasion du Synode du diocèse de Dakar

Édito

Mission … impossible ?

Vous êtes-vous déjà demandé quel sens avait votre présence éphémère sur la terre ? Quel est votre rôle en tant que locataire terrien ?
Ces questions me taraudent souvent …

Et si l’on prenait un peu de hauteur …
Comparons l’évolution de la terre à une année civile.
La formation de la terre débute le 1er janvier, les premières traces de la vie apparaissent le 15 février. Les premiers vertébrés voient le jour le 8 novembre et les premiers animaux terrestres sortent des eaux le 25 novembre. Quinze minutes avant minuit, dans la nuit du 31 décembre apparait seulement l’Homo sapiens !! 
Que représentent nos huit ou neuf décennies face à l’immensité du temps et de l’univers ? Je ne sais pas vous, mais moi, ça m’invite à plus d’humilité, à être moins autocentrée, à plus de respect pour la nature.
Pourquoi vouloir autant le pouvoir sur les autres ou posséder autant de biens alors qu’on ne les emportera pas à la mort ? Pourquoi vouloir être riche alors qu’il y a tant de personnes précarisées ? Pourquoi détruire notre environnement alors que nous ne sommes que de passage ? Nous avons un devoir : respecter ce que l’on nous a accordé.

En descendant un peu de ma hauteur, d’autres questions me viennent en tête de façon récurrente : quelle est ma mission au sein de ma famille, de mon couple, de mon quartier, de mon village, de mon travail ? Et en tant que baptisée, quelle est ma mission ? Que me demande le Seigneur ? Dans quelles situations est-ce que je me sens vivant.e, à la juste place ? Quel est mon désir le plus profond ?

Octobre est le mois de la mission dans le monde, avec la journée spéciale de prière du 19 octobre. Le thème de cette année, en lien avec le jubilé de l’Espérance est « Les missionnaires de l’Espérance ».

Sur le site de Missio, on y lire ceci : « Devant un monde en crise et incertain, restaurer ou vivifier l’espérance devient une mission urgente pour l’Église. Raison pour laquelle le pape François avait choisi la devise « Missionnaires de l’Espérance parmi les peuples » […]. Le pape, « rappelle à chaque chrétien et à l’Église, communauté des baptisés, la vocation fondamentale d’être, à la suite du Christ, des messagers et des bâtisseurs d’Espérance. Il souligne l’urgence de l’Espérance dans un monde où « nous rencontrons souvent des personnes découragées qui regardent l’avenir avec scepticisme et pessimisme, comme si rien ne pouvait leur apporter le bonheur ».

Seriez-vous d’accord de relever ce défi ? Je vous invite durant ce mois d’octobre à réfléchir à ces questions : qu’est-ce que « être missionnaire de l’espérance » ? Quelle est votre mission en tant que femme ou homme, en tant que baptisé.e ou non baptisé.e, en tant que parent ou pas ? Quel est votre désir le plus profond ?

Alors mission possible …ou impossible ?

Bénédicte